Parmi les aliments typiques de la diète méditerranéenne, et plus généralement de l’alimentation caractéristique des Zones Bleues, ces endroits du monde où l’espérance de vie en bonne santé bat des records, on retrouve l’un des superaliments les plus médiatisés au monde, à savoir l’olive, et l’huile qui en est extraite.
La consommation d’huile d’olive associée à de bons marqueurs de santé
Les résultats de certaines études scientifiques ont démontré une faible incidence des maladies cardiaques et de certains cancers dans les pays où l’alimentation est de type méditerranéen, avec une dominante de matières grasses majoritairement apportés par l’olive.
Un profil lipidique idéal
Son principal atout réside dans sa répartition lipidique, avec une très grande majorité d’acides gras monoinsaturés, bénéfiques sinon neutres sur le plan de la santé, et une part très faible d’acides gras saturés, ce qui est bénéfique pour les marqueurs de santé, et une part très faible d’acides gras polyinsaturés, dont le principal désavantage serait de contenir trop d’oméga-6 proinflammatoires, ce qui n’est pas le cas aussi bien pour l’olive que pour l’huile qui en est extraite.
Une richesse en micronutriments
L’olive contient 3,3mg de fer aux 100g d’aliment. Pour rappel, les valeurs recommandées en fer pour un adulte sont de 8mg pour les hommes, et jusqu’à 18mg pour les femmes, et le fer est particulièrement utile pour le transport de l’oxygène dans le sang et pour la production d’énergie.
L’olive apporte également du cuivre, et bien qu’on ait besoin de ce micronutriment en quantité infinitésimale, il assure la solidité des os, la qualité des tissus conjonctifs et du cartilage, notamment en participant à la formation du collagène, et il permet également de lutter contre les infections.
Enfin, l’olive et l’huile d’olive sont riches en calcium et surtout en vitamine E. La Vitamine E pourrait contrer la survenue de crises cardiaques et d’accidents vasculaires cérébraux, favoriserait l’élévation du taux de bon cholestérol (HDL), permettant ainsi une diminution de 25% du risque de maladies cardio-vasculaires.
La vitamine E jouerait également un rôle dans les règles douloureuses. Enfin, elle aurait également une action dans la prévention de certains cancers (poumon, estomac).
L’autre intérêt majeur de l’olive, c’est qu’elle contient une grande quantité de polyphénols, qui ont des propriétés antioxydantes qui protègent les cellules de notre corps. Ces polyphénols contribuent à prévenir les risques de cancer, de maladies cardiaques et de maladie d’Alzheimer et de Parkinson. Les spécialistes affirment qu’une alimentation riche en phytonutriments favorise un vieillissement en bonne santé.
Quantité d’huile d’olive
En pratique, la consommation quotidienne d’huile d’olive pourrait représenter entre 2 et 4 cuillères à soupe. A conserver dans une bouteille en verre, et à l’abri de la lumière. En général, on l’utilise en assaisonnement, et parfois lors d’une cuisson douce, ce qui revient donc aux valeurs recommandées en pratique.
Attention toutefois à ne pas trop en abuser si on est dans une consommation déjà très riche en glucides (féculents et sucres), sans quoi l’apport calorique simultané des lipides de l’huile d’olive, et des sucres issus des féculents, le tout dans de grandes quantités, risquent de ne pas faire bon ménage.
Plus la consommation de glucides sera faible, plus on pourra se permettre d’ajouter peu d’huile d’olive, en veillant à respecter un apport protéique suffisant.
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